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Ma vieille, me suis-je dis un jour, l'heure est venue de bouger ton charmant derrière et de t'investir pleinement dans la vie ! Finalement, non. Je ne vais pas bouger mon derrière, je vais rester devant mon pc, et continuer a vous faire chier dans la joie avec mes histoires. Je vais écrire une histoire RP, voila se que je vais faire !! Oui, mais j'en ai déjà écrit deux.... Tant pis, c'est reparti pour un tour, j'ai l'intention de viser haut : je veux être LA COMTESSE ALPHAROMEOTTE !! Mouahahahahah !!
Bon bref, où en étais-je... Ah oui ! Mon histoire RP... La voici : j'éspère quelle vous plaira.
Alpha, voila un nom bien stupide. C’est comme si je m’appelais A. Quant à mon nom de famille, je n’en parle même pas ! Romeotte. C’est encore pire, surtout quand on est une future comtesse. La comtesse Alpha Romeotte ! C’est ridicule.
Voila ce que je pensais il y a tout juste trois jours. Mais maintenant, mon nom et mon prénom sont les seules choses qu’il me reste. Je suis perdue en pleine forêt, la nuit, a la suite d’une partie de chasse où j’avais du accompagner mon père. J’étais restée en arrière et mon cheval rua car il avait vu un taon. Je tombais dans les buissons, et tout devint noir. Quand je me réveillais, il faisait nuit et j’étais complètement perdue. Mes beaux vêtements royaux étaient en lambeaux, et j’entendais des cris de loups. Mais si je n’avais entendus que des loups, je ne serais pas en train de courir à perdre haleine, car j’avais aussi entendus un autre bruit, comme un grondement guttural. Il se rapprocha, il est tout prêt. J’étais prête à abandonner et a mourir, dévorée par les monstres de la nuit, quand j’aperçu dans la pénombre une épée luisante sous la clarté de la lune, et un tas d’os a proximité. Les bruits se rapprochaient, ils m’encerclaient de tout pars et soudain, alors que j’étais prête à rendre mes dernières forces en me défendant avec l’épée, les bruits s’estompèrent et un rayon de lumière transperça le feuillage des arbres et vint éclairer le buisson le plus proche. Un horrible gargouillement en sorti, et une silhouette humaine en feu apparut et se rua vers moi. A moins d’un mètre de moi, la silhouette tomba par terre et acheva de se consumer. Je détournais la tête et put voir d’autres ombres s’enfuirent dans la forêt, elles aussi en feu. A la place de la silhouette brulée se trouvait à présent des plumes, que je ramassais. Ayant compris a mes dépens qu’il était dangereux de sortir dans la forêt la nuit, je passais le reste de ma journée à abimer mes belles mains blanches à creuser la terre, dans le but de me construire un abri. Plusieurs jours passèrent ainsi, et plus ils passaient, plus l’espoir qui m’avait poussé à survivre s’en allait. Le jour je coupais du bois, la nuit je me terrais dans mon trou, dans l’espoir qu’aucun monstre explosif ne m’attendrait quand je sortirais. Après une semaine passée à ce régime-là, ma robe n’était plus une robe, mes mains blanches n’étaient plus blanches, l’épée dont je me servais pour tout faire c’était cassé depuis belle lurette et mon moral était au plus bas. Mais mon courage, longtemps enfouit profondément en moi, commençait à refaire surface. C’est ainsi qu’un matin, m’armant de ce nouveau courage, j’allais explorer les environs. Et que découvris-je à moins d’un kilomètre de mon trou ? Des maisons. Les maisons de ma ville. J’allais pouvoir revenir à la civilisation, changer d’habit, me laver les mains, mais d’abord, il fallait que je parle a mon père, et que celui-ci me reconnaisse… C’est parti ! La vie de la femme des cavernes, c’est fini ! J’avais compris quelque chose d’important : La richesse et la gloire ne sont rien, si l’on n’est pas courageux. De plus, maintenant j’adorais mon nom !!
Bon bref, où en étais-je... Ah oui ! Mon histoire RP... La voici : j'éspère quelle vous plaira.
Alpha, voila un nom bien stupide. C’est comme si je m’appelais A. Quant à mon nom de famille, je n’en parle même pas ! Romeotte. C’est encore pire, surtout quand on est une future comtesse. La comtesse Alpha Romeotte ! C’est ridicule.
Voila ce que je pensais il y a tout juste trois jours. Mais maintenant, mon nom et mon prénom sont les seules choses qu’il me reste. Je suis perdue en pleine forêt, la nuit, a la suite d’une partie de chasse où j’avais du accompagner mon père. J’étais restée en arrière et mon cheval rua car il avait vu un taon. Je tombais dans les buissons, et tout devint noir. Quand je me réveillais, il faisait nuit et j’étais complètement perdue. Mes beaux vêtements royaux étaient en lambeaux, et j’entendais des cris de loups. Mais si je n’avais entendus que des loups, je ne serais pas en train de courir à perdre haleine, car j’avais aussi entendus un autre bruit, comme un grondement guttural. Il se rapprocha, il est tout prêt. J’étais prête à abandonner et a mourir, dévorée par les monstres de la nuit, quand j’aperçu dans la pénombre une épée luisante sous la clarté de la lune, et un tas d’os a proximité. Les bruits se rapprochaient, ils m’encerclaient de tout pars et soudain, alors que j’étais prête à rendre mes dernières forces en me défendant avec l’épée, les bruits s’estompèrent et un rayon de lumière transperça le feuillage des arbres et vint éclairer le buisson le plus proche. Un horrible gargouillement en sorti, et une silhouette humaine en feu apparut et se rua vers moi. A moins d’un mètre de moi, la silhouette tomba par terre et acheva de se consumer. Je détournais la tête et put voir d’autres ombres s’enfuirent dans la forêt, elles aussi en feu. A la place de la silhouette brulée se trouvait à présent des plumes, que je ramassais. Ayant compris a mes dépens qu’il était dangereux de sortir dans la forêt la nuit, je passais le reste de ma journée à abimer mes belles mains blanches à creuser la terre, dans le but de me construire un abri. Plusieurs jours passèrent ainsi, et plus ils passaient, plus l’espoir qui m’avait poussé à survivre s’en allait. Le jour je coupais du bois, la nuit je me terrais dans mon trou, dans l’espoir qu’aucun monstre explosif ne m’attendrait quand je sortirais. Après une semaine passée à ce régime-là, ma robe n’était plus une robe, mes mains blanches n’étaient plus blanches, l’épée dont je me servais pour tout faire c’était cassé depuis belle lurette et mon moral était au plus bas. Mais mon courage, longtemps enfouit profondément en moi, commençait à refaire surface. C’est ainsi qu’un matin, m’armant de ce nouveau courage, j’allais explorer les environs. Et que découvris-je à moins d’un kilomètre de mon trou ? Des maisons. Les maisons de ma ville. J’allais pouvoir revenir à la civilisation, changer d’habit, me laver les mains, mais d’abord, il fallait que je parle a mon père, et que celui-ci me reconnaisse… C’est parti ! La vie de la femme des cavernes, c’est fini ! J’avais compris quelque chose d’important : La richesse et la gloire ne sont rien, si l’on n’est pas courageux. De plus, maintenant j’adorais mon nom !!
